Ce matin dans La Presse, un titre-choc du ministre d’un précédent gouvernement Réjean Hébert, sans oublier des termes qui le sont autant: autarcie, ostracisme et autoségrégation pour qualifier le désir d’une clientèle de vivre dans une résidence.
On pouvait lire entre autre :
On constate au Québec un engouement des aînés pour les logements ou les copropriétés dans des immeubles dédiés spécifiquement à leur groupe d’âge. Ils y vivent dans une sorte d’autarcie, à l’écart du reste de la société. Cette auto-ségrégation marque l’échec des politiques d’intégration des aînés et soulève des enjeux importants tant d’un point de vue personnel que sociétal et sanitaire dans la perspective du vieillissement rapide de notre population. L‘article intégral est disponible ici
Le groupe Visavie ne prend pas position sur les politiques gouvernementales, ce n’est pas son rôle comme entreprise privée qui oeuvre dans le secteur des retraités depuis près de 30 ans.
Le choix de vivre dans une résidence n’est pas dicté par une politique gouvernementale, mais bien par les personnes qui le font volontairement. Les raisons sont souvent reliées à la santé des individus, mais aussi sur un choix de vie qui peut être plaisant et divertissant.
Lorsque j’ai fondé Visavie, mon objectif était simple, celui de bien conseiller les personnes qui souhaitaient trouver une résidence en fonction de leurs critères, et ce, simplement et sans frais.
Avec les années, les besoins ont évolué ainsi que les occasions d’offrir une gamme complète de services pour les retraités, soit par le choix de la bonne résidence, ou maintenant de rester chez soi plus longtemps.
Ceci étant dit, de nombreux promoteurs cherchent également à se distinguer et se démarquer les uns des autres. Pour cette raison, le groupe Visavie a collaboré à la réalisation de différents concepts novateurs en habitation, entre autres, un offrant ou non des services aux retraités.
Ne soyons pas trop alarmistes, préparons-nous plutôt à permettre à nos retraités d’avoir un choix de vie plus intéressant et constructif pour notre société.
Claude Paré, président